Le musicien académique et le prof veulent faire disparaître les bruits du travail. La vertu du "brouillon", c'est d'éviter l'effet "embourgeoisé" que peuvent produire les sons trop travaillés.
Gilbert Quélennec
ci-dessous, le commentaire d'une auditrice de mes impros:
"Ne vouloir transmettre une œuvre que lorsqu'elle est totalement aboutie, c'est occulter tous les balbutiements, les cheminements, la genèse. L’œuvre achevée, c'est parfois une version académique, empesée. Le brouillon a la vertu de livrer une étape, avant l'étape suivante plus complète. Il permet de diffuser son œuvre dans l'urgence, en révélant son état d'avancement."
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire